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La réforme de l’immigration en France entraîne d’importantes modifications dans l’attribution des aides sociales, y compris l’APL. Un amendement récemment adopté par le Sénat affecte en particulier les résidents étrangers, modifiant les conditions d’accessibilité aux prestations.
Autrefois, l’accès aux aides telles que l’APL était moins restreint. Cependant, avec la nouvelle loi, les critères se durcissent, et certains étrangers pourraient ne plus être éligibles.
Les allocations, dont l’APL, étaient une aide précieuse pour les familles modestes, facilitant la gestion des dépenses de logement. Désormais, les nouvelles normes imposent des critères plus rigoureux, tenant compte de la situation personnelle et professionnelle des demandeurs.
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Impact sur les résidents étrangers
La loi révisée limite l’accès à diverses aides gouvernementales, telles que l’APL et la PCH pour les personnes handicapées. Un critère clé est désormais en place : les étrangers doivent résider en France depuis au moins cinq ans pour prétendre à ces aides, sauf pour les citoyens de l’UE.
La sénatrice Laurence Rossignol a exprimé son inquiétude quant à l’impact de ces changements sur les familles étrangères établies en France, qui contribuent à l’économie nationale.
Exceptions notables dans la réforme
Certaines aides, comme l’AAH, demeurent inchangées et voient même une augmentation. Une règle spécifique concerne les bénéficiaires de l’APL vivant temporairement à l’étranger : ils ne peuvent s’absenter plus de trois mois sur l’année.