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Capital, dans son dernier rapport, a révélé que la taxe foncière va augmenter de 7,10 %, en grande partie à cause de son indexation sur les prix à la consommation. La décision a été validée par les municipalités.
La taxe foncière n’est pas le seul impôt à subir une hausse. La taxe d’habitation sur les logements secondaires est également concernée. Les communes, qui font face à diverses nécessités financières, ont ainsi opté pour ces augmentations.
Capital ajoute : « Les collectivités ont à faire face à de plus en plus de dépenses, liées à des transferts de charges de la part de l’État ou de fait. Ainsi, une ville qui a estimé nécessaire de disposer d’une police municipale doit en assumer le coût en termes de masse salariale ».
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L’augmentation de la taxe foncière est également due à la disparition de la taxe d’habitation pour les résidences principales. Des hausses supplémentaires sont également à anticiper dans les années à venir.
Les changements à venir
Capital a également signalé que les bases cadastrales seraient révisées. Emmanuel Macron souhaite « transférer l’essentiel de la politique du logement vers les collectivités locales, communes en particulier, et d’aller en cela au bout de la décentralisation ».
Capital souligne : « Dans ce contexte, la baisse d’un autre impôt majeur alimentant les collectivités locales, les droits de mutation à titre onéreux, demandée dans sa dernière supplique par l’UNIS à l’approche de son congrès, semble compromise ». Capital
Que peuvent espérer les Français ?
Il semble peu probable que les coûts diminueront dans un avenir proche, ce qui est une mauvaise nouvelle pour les Français souhaitant économiser en ces temps d’inflation. Plusieurs impôts vont probablement subir une augmentation pour renforcer les ressources des communes. La question demeure : comment les citoyens réagiront-ils à ces hausses ?
