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En France, tous les propriétaires de biens immobiliers sont tenus de payer la taxe foncière, qu’il s’agisse de biens locatifs ou non. Cette taxe concerne aussi bien les propriétés bâties que les terrains non bâtis. Ainsi, si vous êtes propriétaire d’une maison, d’un appartement, ou d’un terrain agricole, cet impôt devra être réglé.
Un montant de taxe variable selon le bien
Le montant de la taxe foncière dépend de plusieurs critères. Il est calculé en fonction de la valeur du bien, de sa surface et des équipements présents. Par exemple, une maison avec un grand jardin et une piscine sera plus lourdement taxée qu’un petit appartement en centre-ville.
Si vous êtes propriétaire, attendez-vous à un prélèvement prochainement, car l’échéance approche.
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Un prélèvement prévu pour 32 millions de propriétaires
Cette année, environ 32 millions de propriétaires sont concernés. Parmi eux, vingt millions devront s’acquitter de la taxe en une seule fois, tandis que les autres ont opté pour la mensualisation.
Le montant exact de la taxe varie selon les caractéristiques spécifiques de chaque bien. En outre, l’inflation impacte directement l’augmentation de cet impôt. En 2023, par exemple, l’augmentation de la taxe foncière a entraîné des prélèvements plus élevés pour certains.
Ces dernières années, la taxe foncière a connu une hausse marquée de 7,1 % dans de nombreuses communes. Certaines villes, comme Paris, ont même observé une augmentation impressionnante de 59 %. En 2023, le prélèvement moyen pour les propriétaires a atteint environ 1 034 euros.
Que faut-il attendre pour 2024 ?
La hausse de la taxe foncière continuera en 2024 avec une augmentation prévue de 3,9 % sur l’ensemble du territoire. Ainsi, le prélèvement moyen pourrait atteindre 1 074 euros, sans compter les éventuelles majorations locales décidées par certaines communes.
Attention au retard respectez les dates limites
Il est impératif de respecter les dates limites de paiement pour éviter toute sanction. Si vous avez choisi le paiement en ligne, celui-ci doit être effectué avant le 20 octobre 2024. Pour les paiements physiques (par chèque ou virement), la date limite est fixée au 15 octobre 2024 à minuit.
En cas de retard, une majoration de 10 % sera appliquée, augmentant ainsi le montant du prélèvement. Assurez-vous de respecter les délais pour éviter des frais supplémentaires.