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Beaucoup supposent que les acteurs du monde médiatique jouissent d’un certain confort financier. Gilles Bouleau, figure emblématique de TF1, apporte des éclaircissements sur ce que c’est réellement que de travailler dans l’industrie de l’information. Ses déclarations sont plus qu’éclairantes sur ce qui se passe hors des caméras !
La principale explication
De nombreux journalistes qui aspirent à travailler pour TF1 et continuent leurs études pour atteindre cet objectif. Certains d’entre eux gagnent de l’expérience dans d’autres médias en attendant l’opportunité de leur vie. Gilles Bouleau, en revanche, se démarque nettement du groupe.
Grâce à son énergie et son expertise, il a su captiver les hauts responsables de TF1. Ils lui ont même confié le rôle de successeur de Laurence Ferrari, le propulsant en 2012 à la position de présentateur du JT de 20 heures.
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Comme on pourrait l’imaginer, cette ascension professionnelle a porté sa carrière à de nouveaux sommets. Il a également passé du temps à l’étranger sans pour autant se détacher de TF1. Son parcours dans le domaine audiovisuel l’a même mené à rencontrer sa compagne, Elisabeth Tran.
Gilles Bouleau a été un acteur clé dans la couverture de certains des plus grands événements de l’année, notamment le couronnement du roi Charles III. Il a également accordé une interview exclusive à l’émission BuzzTV, diffusée par Le Figaro Live.
Un salaire comparable à celui d’un footballeur ?
Dans son apparition sur BuzzTV, Gilles Bouleau discutait également de Blanche Gardin, qui était à l’époque au centre d’une controverse concernant son salaire. Il a révélé sans tabou ses opinions, disant : « Dès qu’on parle d’argent en France, il y a une sorte de pudeur mal ou bien placée, je ne juge pas ».
La conversation a ensuite bifurqué vers la rémunération que Gilles Bouleau percevait chez TF1. Sans la moindre gêne, il partageait : « je n’ai pas de pudeur avec l’argent que je gagne, les impôts que je paye et le travail que j’effectue ».
Il a ajouté plus de contexte en déclarant : « pour répondre à cette question, je réponds souvent : ‘Vous aimez le foot ? Je gagne plutôt moins qu’un gardien de but de Ligue 2’. C’est formidable, vive la Ligue 2 et les gardiens de Ligue 2 ».
La réalité salariale de Gilles Bouleau
Certes, une simple recherche en ligne peut révéler le salaire d’un gardien de but de Ligue 2. Toutefois, les journalistes de Le Figaro préfèrent s’appuyer sur des données plus fiables fournies par la rédaction de L’équipe. Le salaire moyen d’un gardien de but de Ligue 2 tourne autour de 15 000 euros, et Gilles Bouleau n’en fait pas une affaire. Il ajoute même, en plaisantant : « Après si vous m’offrez le salaire de Mbappé, son 13e mois suffirait… ».
En somme, Gilles Bouleau a ouvert le dialogue sur des sujets souvent tabous, notamment la rémunération dans le milieu du journalisme. Avec un profil atypique, il est une figure de proue chez TF1 et n’hésite pas à discuter ouvertement de sa situation financière. Sa transparence est non seulement rafraîchissante, mais elle donne également un aperçu précieux de la réalité du métier de journaliste dans le paysage médiatique français.