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Depuis plusieurs mois, l’expérimentation de la condition des 15 heures d’activité hebdomadaire pour toucher le RSA a été lancée. Cette semaine, plusieurs associations ont exprimé leur inquiétude face à sa généralisation, prévue pour le 1ᵉʳ janvier 2025.
Une expérimentation qui fait débat
Le gouvernement sortant avait mis en place cette phase d’expérimentation dans 47 départements pour évaluer l’impact de cette nouvelle condition. L’objectif annoncé était de faciliter l’insertion professionnelle et de contribuer à atteindre le plein emploi. Cependant, plusieurs associations et syndicats, dont le Secours Catholique, ont exprimé des réserves sur cette mesure.
Pour Sophie Rigard, chargée de plaidoyer travail et emploi au Secours Catholique, « cette condition concerne trop de personnes parmi les plus pauvres », mettant ainsi en péril leur insertion. Elle a appelé le gouvernement à réviser cette réforme avant sa généralisation, prévue au 1ᵉʳ janvier.
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Un risque de dérives
Les associations dénoncent le risque de « glissement vers le travail gratuit ». Avec le soutien d’organisations comme Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre, elles craignent que cette réforme n’éloigne davantage les bénéficiaires du RSA de leur projet d’insertion. Elles soulignent également les dangers d’une « mise en concurrence avec les emplois publics et privés », susceptible de tirer vers le bas les conditions de travail et les salaires.
Le rapport rendu public ce lundi 14 octobre met en lumière les dérives potentielles de cette réforme et demande au gouvernement d’en suspendre la généralisation. Ces associations insistent sur la nécessité de repenser cette réforme pour éviter qu’elle ne devienne contre-productive.
Vers une généralisation contestée
Si la généralisation de la condition des 15 heures d’activité est maintenue, les bénéficiaires du RSA devront signer un contrat d’engagement, sous peine de sanctions graduées en cas de non-respect. Cette obligation inquiète les associations, qui jugent que cette réforme pourrait accentuer les difficultés des plus précaires.
Tout à fait normal qu’ils travaillent quand on sait que des franco tunisien vivent au pays alors qu’ils touchent le rsa et de plus ont une maison bien sûr sont très intelligents la maison est sous le nom d’un parent
S’il faut qu’ils travaillent ils ne pourront plus profiter sans rien faire surtout qu’ils ne se cachent pas de nous dire qu’en tout ils perçoivent en tout 1200 ruros d’aides
Réfléchissez certains retraités qui ont travaillé toute leur vie ne perçoivent que 800 euros et n’ont droit à aucune aide
Il faudrait arrêter de donner sans compensation
Il n ya pas que de fracas tunisien des français de souches font la même trafic je connais des familles familles entière qui vivent confortablement avec ce même système
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