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Fin 2020, les rues résonnent du nom « Marc » chaque fois que les fans reconnaissent Jonathan Cohen. Ce personnage, issu de la série La Flamme sur Canal+, a rapidement gagné en notoriété. « Marc ? Maaarc ! Maaaaaaaarc ! » est devenu un cri de ralliement, propulsant Cohen sous les projecteurs, comme il l’avait été pour d’autres rôles tels que Serge le Mytho et Fucking Fred. « Je ne suis pas une superstar comme Pierre Niney ou Omar Sy, » fait-il remarquer dans Libération.
L’Homme qui se cache derrière ces rôles
Élevé dans une cité HLM à Pantin, Jonathan Cohen n’était pas destiné à devenir un acteur. Ses parents étaient loin d’être impliqués dans le monde artistique, et malgré une enfance difficile marquée par des complexes, il trouve une échappatoire dans l’humour.
« J’ai grandi avec de nombreux complexes, et je sais que je les aurai toute ma vie, » avoue-t-il au Parisien Magazine. Pour compenser, il se réfugie dans des mensonges fantaisistes, inventant que son père est le créateur de la série K 2000, par exemple.
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Son chemin vers le succès
Après avoir essayé plusieurs métiers sans succès, il fait une découverte en accompagnant un ami à un cours de théâtre. Poussé par cette passion naissante, il se rend à New York avec l’intention de percer dans le métier, mais finit par travailler dans un restaurant. Déçu mais pas vaincu, il revient en France, intègre le Conservatoire, et commence sa carrière en enchaînant de petits rôles avant de trouver la notoriété.
Ce qui fera pencher la balance
Du côté de sa vie personnelle, après des relations mitigées, il trouve l’amour en Giulietta Canzani Mora, alias Piu Piu. Ensemble, ils fondent une famille, ce qui apporte une nouvelle dimension à la vie de l’acteur. « Lorsque ma fille est née, j’ai acheté une maison de campagne avec un jardin. Je veux pouvoir cultiver des tomates et de la salade pour la nourrir s’il se passe quelque chose demain, » partage-t-il dans Le Parisien Magazine.
Jonathan Cohen, bien plus qu’un humoriste, est un homme complexe avec un parcours riche en rebondissements. Des rues de Pantin aux lumières de la scène, il a su transcender ses complexes et ses échecs pour se forger un nom dans l’industrie. Aujourd’hui, entre rôles publics et vie privée épanouie, il trouve enfin son équilibre. Être ou ne pas être drôle, il n’a plus à choisir. Il est tout cela à la fois.